Béatrice Bausse
Fondation de France Sud-Ouest
Le Pompon – Épisode 59
Pour ce nouvel épisode, j’ai le plaisir de recevoir Béatrice Bausse, déléguée générale de la Fondation de France Sud-Ouest !
Attirée par le monde artistique étant petite, Béatrice a commencé à travailler pendant 10 ans avec des élus, auprès notamment d’une ancienne ministre en tant qu’attachée de groupe à Bordeaux.
Le chemin a fait qu’à un moment donné j’ai voulu répondre à une annonce.
En 2002, après avoir passé 4 ans dans une association d’aide à la création d’entreprise, Béatrice répond à l’annonce de la Fondation de France Sud-Ouest qui lance un appel à candidature. Et c’est le début d’une très belle aventure au service de l’intérêt général.
Dans cet épisode Béatrice nous explique ce qu’est la Fondation de France Sud-Ouest. Son enjeu est de collecter des fonds pour les distribuer à des projets de missions d’intérêt général. La Fondation de France abrite plus de 900 fondations sur les 2 600 existantes.
La Fondation de France aide ceux qui font !
L’ambition de la Fondation ? Pouvoir faire au mieux ce qu’ils font, collecter davantage pour financer plus d’action, être plus en lien avec les donateurs, les fidéliser, être plus proche de leurs besoins.
Sans les donateurs, qui soutiennent la fondation de manière totalement libre, la fondation ne pourrait exister, Béatrice fait donc tout pour instaurer une relation de confiance durable.
C’est aussi une grande responsabilité que de flécher l’argent de donateurs vers telle ou telle association. Les décisions sont prises toujours en ayant à l’esprit que l’argent provient de généreux donateurs. A ce sujet justement, Béatrice nous raconte quelques belles histoires !
On ne reviendra pas au modèle d’avant.
Après toutes ces années passées à la Fondation de France, Béatrice a aussi un positionnement qui lui permet de bien ressentir l’évolution de la société.
La Fondation de France est un carrefour entre celles et ceux qui donnent et les associations sur le terrain. Cette spécificité unique lui apporte une vision très large de ce qui se passe dans le pays. On aborde justement la réactivité de la Fondation et des donateurs au début de la crise du Covid, avec un élan de générosité important !
On parle également de divers projets soutenus ou créés par la Fondation de France, de ces citoyens qui prennent à bras le corps des projets qui sortent de l’ordinaire !
Je me lève tous les matins parce que ce n’est pas fini !
C’est ça que je trouve inspirant chez Béatrice, c’est sa perpétuelle motivation pour aller jusqu’au bout et toujours cette mission d’aider un maximum de monde.
Elle apporte son énergie et ses idées à celles et ceux qui l’entourent et se nourrit aussi de ces citoyens engagés qui font vivre tous ces projets.
Je vous souhaite à toutes et à tous une très belle écoute !
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Épisode 57 – Wiame Benyachou
Au fil du temps, elle assiste à une réunion de sa ville à l’âge de 16 ans, révoltée car la ville ne donnait ni accès à la mobilité, ni à la culture pour les jeunes. Suite à cette réunion, Wiame s’engage dans des mouvements de jeunesse, et c’est comme ça qu’elle découvre qu’elle peut à la fois défendre ses idées et en même temps faire avancer les choses.
Son premier engagement ? Défendre le prix du bus pour les trajets entre la ville et la campagne.
Épisode 56 – Thomas Boisserie
Son inspiration pour Les Nouvelles Fermes vient du projet Gotham Green, une ferme hydroponique au-dessus d’un supermarché à Brooklyn. Il s’est penché sur le sujet, a réfléchi à comment le tourner de manière éco-responsable et s’est intéressé à l’aquaponie, un écosystème qui unit le fait de cultiver des végétaux en symbiose avec des poissons.
Épisode 55 – Léa Thomassin
Le point de départ de son engagement associatif ? C’est grâce à l’un de ses professeurs de terminale, qui avait fait un premier cours sur le développement durable. Léa réalise que c’est un sujet qui fait sens et qu’elle a envie de faire ça : imaginer un modèle d’entreprise compatible avec la planète.