Jérémie Ballarin
Cofondateur de la Wanted Community
Le Pompon – Épisode 7
J’ai adoré cet échange avec Jérémie où l’on aborde son parcours et rapidement le projet, qui au départ n’était qu’un groupe entre potes, et qui est devenu la référence incontournable lorsqu’on recherche un bon plan ou de l’aide sous toutes ses formes en France sur Facebook. Il est passé par deux Masters 2 en droit public et droit des collectivités pour « se fermer aucune porte ». Mais ce n’est pas ça qui l’anime. Il découvre alors en 2008-2009 le métier de « Community Manager » encore peu développé, plutôt un métier à part qui ne prend pas encore part à la stratégie globale d’une entreprise.
Cette accélération du lien je trouvais ça génial.
Arrive l’un des tournants dans ma vie, une des meilleurs choses qui m’est arrivé, c’est à dire une licenciement, que je souhaite à toutes les personnes qui écoutent ce podcast.
Dans une aventure, il y a des péripéties, sinon c’est pas une aventure.
À la lisière entre le business, l’activité économique, le social, le lien que tu crées… il y a la question du vivre ensemble.
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Le Pompon, c’est aussi :
Épisode 21 – Edwige Lurton-Michon
Edwige est avant-dernière d’une fratrie d’un certain Lucien Lurton qui a établit un véritable empire dans le secteur du vin avec son frère André, et je voulais comprendre comment elle a géré ce nom si puissant et surtout comment elle a finalement pris sa place dans ce milieu au côté de son mari Olivier avec qui ils subliment ce lieu magnifique par leurs caractères et leurs sensibilités.
Épisode 20 – Mathilde Le Roy
C’est en partie grâce à sa famille qui s’intéresse à l’art que Mathilde a aiguisé au fil des années une belle attirance pour le secteur et bien qu’elle n’ait pas encore travaillé dans ce domaine, elle décide de créer KAZoART en 2015. Démocratiser l’achat d’art : c’est son crédo !
Épisode 19 – Laurent Calando
Quasiment né sur un bateau, il navigue depuis son plus jeune âge et obtient -of course- son permis bateau avant son permis voiture !
C’est à partir de son expérience familiale et d’un voilier sur le Bassin qui servait 2 à 3 fois par an, qu’il se dit que ce serait mieux d’en louer un.



